La législation djiboutienne autorise le fonctionnement d’institutions financières dites « islamiques » depuis 2011.

L’enregistrement des naissances est défini comme la déclaration de la naissance de l’enfant auprès de l’autorité publique. Il marque le début de l’existence juridique et sociale d’un individu et lui permet d’accéder à la protection du droit. C’est un thème d’actualité dans notre région où la naissance d’enfants de réfugiés ou d’immigrés ne cesse de croître.