En réponse au sieur Cassim Ahmed Dini, égal à lui-même, qui vient de récidiver avec son nouveau post mensonger qu’il destine aux internautes qui n’ont aucune information sur le déroulement interne de notre parti, je me permets pour la première fois depuis huit ans qu’il sévit de lui répondre par respect aux innocentes victimes de ses mensonges et diffamations.. Comme à son habitude il ment comme il respire et avance des contre-vérités sans apporter la moindre preuve. En conséquence ci-dessous le droit de réponse à ses posts diffamatoires et mensongers :
En effet cela fait des mois que CAD avait déserté les réunions du parti à tous les niveaux et il n’est revenu que lorsqu’il a entendu parler du congrès.
En fait bien avant qu’il soit de retour, une commission de préparation du congres a été désignée. Elle avait élu en son sein un président en la personne du camarade Mohamed Abakari. Notre camarade Dilleyta en a été membre mais ne pouvait en être président compte tenu du fait qu’il était susceptible d’être candidat. Non seulement il n’en était pas devenu président comme le prétend CAD, mais il avait demandé à être dispensé lors d’une réunion du haut conseil pour s’occuper à plein temps de son mouvement de la société civile, Bukko Cina et AJC, qu’il venait de créer pour contribuer d’une autre manière, aux côtés du parti, à la contestation populaire.
Par ailleurs, qui peut croire qu’une élection peut s’organiser pour le choix du président du parti uniquement au sein d’un comité restreint, fut-il le haut conseil. Nous ne sommes pas le polit-buro stalinien et encore moins un Parti communiste à l’image de celui de l’époque de l’Union soviétique. M. Cassim et ceux qui croient en ces mensonges doivent revoir leur culture politique et organisationnelle. S’il y a élection, elle ne peut s’effectuer que lors du congrès, et c’est au congrès, et uniquement à lui, d’élire le président de l’ARD. Kassim Ali Dini, auquel il croit offrir des fleurs malgré ce qu’il lui a fait endurer tant au niveau familial qu’au niveau personnel et organisationnel, ainsi que moi et tous les autres membres du haut conseil avions décidé, avec le comité d’organisation du congrès, que la candidature était ouverte, conformément aux statuts de notre parti à tous les membres du parti et que c’est le congrès qui élira le futur président. Il a crut, comme c’est son habitude, créer la zizanie entre nous et particulièrement entre moi et KAD, mais en vain. Il a échoué et tente de convaincre les anonymes du net.
Un adage afar dit que « le gamin croit que l’ombre qui se trouve au sein de la maison se trouve aussi à l’extérieur ». M. Cassim croit que l’avenir du parti se joue avec les anonymes du net mais je lui rappelle que c’est à l’intérieur du parti et avec ses membres et militants que la destinée du parti s’organise et se décide.
Le fait de mentir à tout va et d’accuser tout ceux qui ne pense pas comme lui d’être des traîtres ne lui servira à rien. Personne n’est dupe car son masque est tombé, et tous les Djiboutiens ont compris son profil de psychopathe qui veut souiller tout le monde avec son venin tel un serial killer. Un psychopathe, c’est quelqu’un qui accuse ceux qu’il craint des maux qui le rongent, et tente par tous les moyens d’en découdre avec ses ennemis imaginaires : cela devient son unique obsession. Cette attitude négative qui est devenue au fil du temps et de ses écrits sa tasse de café a complètement écorné son image, ce dont il ne semble pas s’apercevoir et il persiste dans son entêtement.
D’ailleurs, dans une interview, parue il y a quelques années dans Human Village, il dévoilait l’ampleur de sa traîtrise envers le parti et ses militants. Il reconnaissait avoir été commandité par IOG pour être son supplétif en vue de casser l’USN et cloner l’ARD. Il avait même prétendu vouloir récupérer le fruit de l’accord de 12 mai avec le FRUD Armé sous le président fondateur de l’ARD, le regretté Ahmed Dini Racimahoallaah, qu’il avait alors allègrement trahi en écrivant un communiqué qui mettait en cause son père. Aujourd’hui il tente de revendiquer la paternité de cet accord qu’il avait violé au vu et au su de tout le monde.
Il écrit, car il n’a cure du ridicule, que ce serait moi qui aurait emprisonné Dilleyta. Quelle mauvaise foi. En plus il prend l’opinion pour des tarés ; Soubcanallah yalli kaa duuday beytu beytu isi qamal lem geele Inchallah.
En conclusion, désormais, il faut que les écrits de ce menteur et diffamateur patenté ne trompent plus personne.
Si besoin, je reviendrai éclaircir davantage ses magouilles, car on ne peut lui assurer l’impunité alors qu’il tente de casser notre parti. Notre silence l’encourage et c’est inacceptable.
Adan Mohamed Abdou